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Le résumé

dimanche 30 octobre 2005, par Aurelien

C’est la veille du week-end que nous avons pris la route, direction Orange, Patrice, Jos et moi. Entre l’autoroute à se taper, et les bagages à transporter, on a préféré ne pas partir en Golf 1, mais avec ma Golf 2 (basse conso garantie de surcroit). Rendez-vous est pris le samedi matin, 9h30, à la sortie de l’autoroute ORANGE-SUD (près du péage) sur le premier parking avant le premier rond point...

Le point de rencontre

Et la journée commence fort : pour ceux qui arrivaient de la mauvaise direction (nous donc...), pour entrer dans le parking, il fallait franchir une ligne blanche, se taper un sens interdit (la sortie du parking en question), et ponctuer le tout par deux-trois coups de Klaxon bien “sentis” histoire de se faire remarquer par la gendarmerie juste à côté... Pas mal ! Rires !

Le plateau est composé ainsi : La famille Idorap au complet (Pascale, Claude, Julien et Laurent) en T4, GTI21 en seat Ibiza Diesel (ça n’a pas été trop dur ?), DocteurKR et son Edition One, Giovanni et sa belle GTD (accompagné de sa compagne et un copain), Joël bien sûr avec Marie-Christine (avec la cabriolet), Raphaël et sa "plus", Casimir et Mireille en G5 TDI ainsi que Chris et Chrisette en 1800. Nous serons rejoint plus tard par Klem et Klemette, en Rabbit.

Une fois tout le monde réuni, c’est parti pour une balade, direction le mont Ventoux, pour y déjeuner. En fait de déjeuner, on parlera plutôt de goûter, vu l’horaire plutôt tardif...

Eh oui, il y a une chose, que nous nordistes, ne connaissions pas : la pause Ricard [1] , à chaque fois que le cortège était disséminé (c’est à dire assez souvent quand même ! Rires). Les oreilles bercées par le concert typique des cigales sous le soleil, l’air humé d’un doux parfum de lavande, forcément, le panard ressenti à ce moment-là permet de comprendre pourquoi les sudistes sont si prompts à dégainer la bouteille de 51 dans de telles circonstances ! ;-)

La pause "51", bien méritée !

Du coup, le timing en prend un sérieux coup dans l’aile... mais on s’en fout, personne ne nous attend nul part. Nous trouvons donc sur notre chemin un petit coin abrité, on s’y arrête pour “casse-croûter.”

Un p’tit coin d’ombre, idéal pour casse-croûter avant la montée !

Le ventre rempli et les mécaniques à peine refroidies, notre cortège prend la route du mont pour de bon. Et là c’est l’éclate totale : le revêtement est un vrai billard, la visibilité est optimale, on peut presque grimper à trois de front. De quoi s’amuser comme des petits fous, mais sans débordement, et j’insiste là-dessus.

Mémorable montée du ventoux

L’altitude nous joue des tours : outre la puissance qui n’en finit pas de chuter au fur et à mesure que l’on monte (frustrant !!!), la Golf 5 de Casimir se montre bruyante (un ronron de courroie à-priori). Ah, salo$&éù%` de voiture moderne certains diront. Et bien elle n’est pas la seule... La pompe à essence de la 1800 de Raphaël se met carrément en grève. Allez, plus que quelques virages, une fois en haut, il ne suffira plus qu’à redescendre en roue libre !!! Merci le T4 au passage !

Ouf, Raphaël peut dire merci à Claude et son T4 ;-)

Le camping ponctuera cette journée bien sympa, et de quelle façon ! Après s’être installé de manière plus ou moins “catholique” - le contraste fut saisissant entre la tente dernier cri (elle se déplie toute seule) de la famille Idorap et le modèle old-school de Raphaël - nous avons pris place autour d’une grande tablée, rejoints depuis peu par Christophe de Savoie et un copain.

La tente de Raphaël, d’une autre époque. 70’s à fond, Raph’ ;-)

La boisson aidant, certains n’auront aucun mal à s’immiscer au sein de la troupe qui anime la soirée country. Plutôt qu’un long discours, les photos parleront d’elles-mêmes ! Personnellement, je ne pense pas faire parti de ceux qui se sont le moins marrés (s’il y en a eu !). Au passage, hommage à Gaëlle : t’es trop forte Gaëlle !

L’ambiance était plutôt morose...

Le réveil fut des plus durs. Il y avait un animal, (celui qui figure en bonne place sur les maillots de l’équipe de France de foot, vous voyez ?) qui s’époumonait toutes les 2 minutes, dès 6h00. Personne n’a un fusil ? Une fois calmé, c’en est un autre (d’animal) qui prit le relais en démontant les tentes les unes après les autres, pendant que ses occupants essayaient de terminer leur nuit convenablement. Je tairai ton nom, Joël...

Le petit-dèj englouti et les tentes vite repliées, on the road again ! Notre parcours étant plus ou moins improvisé, nous décidons de passer par le lac de Serres Ponçon pour nous restaurer le midi, et gravir le col de la Bonette (le plus haut d’Europe, 2802 m) pour nous en mettre plein les mirettes.

déjeuner au lac de Serres Ponçon, dan un joli cadre ma foi.
La montée du col de la bonette, un panorama incroyable.

La journée touche à sa fin, nous nous séparons à Nice (si on nous avait dit qu’en partant d’Orange le samedi matin, on atterrirait pratiquement à la promenade des anglais le dimanche soir, on n’y aurait pas cru). Allez, il est 20h00, on a encore 270 kms à faire, une broutille ! On va bien dormir, ça c’est certain.

Rendez-vous le plus tôt possible les amis, et ce coup-ci, nous espérons vous voir dans le nord, car si le temps n’est sans doute pas aussi sympa que par chez vous, certains paysages et à-côtés valent également le détour ici... ;-)

Merci à Joël et à Casimir pour la mise à disposition des photos.

Note


[1Pour les “âmes sensibles” et “bien-pensantes”, il est admis qu’il ne faut pas plus de deux verres pour prendre le volant. Un verre, largement mêlé aux chips et autres amuse-gueules ne s’est vraiment pas fait sentir...


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