Le délire !
A l’aube de la décennie 80, il y avait de quoi se visser le doigt sur la tête. N’importe qui, de la dame qui utilise sa Golf GTI pour aller faire les courses au plus sportif des conducteurs qui exploite son petit bolide dans ses derniers retranchements, se contentait parfaitement des 110 ch délivrés par le 1600 injection.
N’importe qui, mais sûrement pas les allemands de la société Schrick, préparateur connu principalement pour la fabrication d’arbres à (...)