La suite du résumé, avec la journée de dimanche… du côté ardéchois, je laisse les vauclusiens compléter
Réveil nocturne dimanche par FredX2 qui est venu tambouriner à la porte du gîte.
Personne ne bouge, c’est le silence absolu… surtout ne pas faire craquer l’escalier en bois !
Alors notre GO du samedi commence à perdre son G puisqu’il a réussi à obtenir frauduleusement mon 06 pour faire sonner mon téléphone. Et là je dois bien répondre : imaginez que ce soit une urgence ! Bah non, arraché à mes paradis oniriques, j’entends seulement le mot « REVEIL ».
L’ouverture du Velux confirme mes craintes : c’est la nuit !! Marignan me console, il y a du café et du jus d’orange. Lorsque nous partons rejoindre les dimanchistes, le boulanger de Saint Martial dort encore !
FredX2 nous ramène sur la place du Cheylard (sans les motards de la veille, ils dorment eux aussi !

) pour une halte-croissants au lever du jour.
La descente Cheylard-Loriol est avalée avec gourmandise, d’autant que la fraîcheur matinale prend soin des freins durant les 50 kilomètres qui nous ramènent à l’urbanisation drômoise.
Absence de circulation + revêtement magnifique + un ouvreur qui connaît la route par cœur = un pied d’enfer !
Etape de liaison Loriol – Orange par l’autoroute, où paradoxalement nous perdons déjà du temps. Mais ce n’est rien comparé à l’allure de

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qui nous est infligée sur les 30 derniers kilomètres jusqu’à Mazan !
Là nous retrouvons enfin les dimanchistes avec 1 heure de retard et faisons la connaissance de Virgil et son Team qui nous accueillent avec sourire.
Mais ce n’est pas fini ! Le temps de faire connaissance, que les hommes posent au volant de la Westfield de Jowel et que les femmes se fassent photographier nues sur le capot démesuré… et voilà qu’on est à 2 heures de retard !
C’est bon Virgil est intronisé CSG : no time, no road-book !
